[ illustration ; zombies & cyborgs ] Après demain, la contamination.

Ou la résistance.


En l’an non gracieux 2077, la guerre fait rage. D’un coté, se ruant par légions des êtres tout droits sorties des meilleurs films d’horreur de série B en état de décomposition animés d’une folie bestiale et d’une faim insatiable. De l’autre quelques dizaines de géants mécaniques crachant du feu et déchiquetant tout ce qui se compose d’un minimum de chair, pilotés par une poignée d’heureux, mais non moins hargneux, survivants.

Le pourquoi du comment, si cela vous intéresse un tant soit peu, prend ses racines à la fin de l’année 2012 ; comme l’avait prédit les prophéties Mayas, Incas, Aztèques, Atlantis, Jésus & son papa, le minitel et une poignée de Chinois, l’Apocalypse frappe le monde. D’un grand coup sec et sous forme d’un virus d’origine encore inconnue mais probablement émergé d’un quelconque laboratoire militaire ou avant-gardiste, postmoderne, visionnaire, mais surtout souterrain et au préalable testé sur des macaques et deux ou trois chiens dont la protection aurait échappé aux secours de la SPA ou d’un équivalent.

Très vite ce terrible virus, que nous nommerons « i » pour « inconnue » (subtilité, quand tu nous tiens), touche la population humaine, la rabaissant à un état bestial, chaque contaminé cherchant à croquer un bout de son prochain pour se nourrir et l’infecter à son tour, accroissant ainsi le nombre des adeptes du « i ». Ce virus se transmettant par le sang, morsure, griffure, mais qui n’est pas une MST, soulignons le, pour les zombiephiles.

A ce moment du récit, on peut espérer que la belle Mila Jovovich va intervenir et flinguer cette masse de zombie, comme elle a déjà pu le faire par le passé envers la Umbrella Corporation… mais si on prend en compte le fait que tout ceci n’est que pure fiction, cette solution n’est pas envisageable, pas plus que le secours de Bruce Willis qui a pourtant l’habitude de sauver le monde, et l’a prouvé un bon paquet de fois. Si, si.

Donc ! Donc le nombre de monstres s’accroit, jusqu’à ce que l’ensemble de la population humaine et animale devienne une masse vivante affamée de chair, de violence et de chaos.

Doucement et tranquillement ces goules errent au travers du monde, les villes se dégradent, la nature reprend ses droits, et la chair fraiche se fait rare, à un point que les contaminés se dévorent entre eux (« faute de caille… »). Jusqu’au jour où débarquent ces robots et se mettent à faire un carnage… Qui sont-ils, d’où viennent ils ?

Quelques années avant la triste fin de notre monde parfait (disons deux ans avant les élections), des camarades Russes avaient été envoyés en missions quelque part vers l’infini et l’au-delà, dans le bel espace étoilé qui englobe nos pensées, au nombre de plusieurs équipes. L’une de celles-ci revint après l’apocalypse... pour découvrir le désastre, s’en suit l’organisation d’une résistance, les autres équipes rentrent prévenus sur Terre et après maintes recherches ils trouvent une autre poignée de survivants, planqués dans des bunkers d’avant-guerre, ainsi, avec leurs nouveaux amis Allemands ils vont mener la campagne « antii » (avec deux « i » pour le « i » de anti, et celui du virus, hé ouais mon pote).

C’est dans la grotte d’un désert en Irak qu’ils trouvent les plans leur permettant de construire plusieurs armures de guerres dévastatrices, probablement mises au point par un richissime ingénieur et possesseur d’une grande ligne d’armes américaines fan de hard rock, pris en otage pour fournir de quoi faire la guerre à tout le monde (classique).

Après s’être finement renommé les Anges de la Mort (bien qu’ils aient hésité avec les Anges Rédempteurs et le KKK… ce dernier ayant apparemment déjà été utilisé par le passé ils abandonnèrent l’idée) ils se lancèrent en guerre contre la vermine verte, avec la ferme intention de les désintégrer jusqu’à la dernière phalange rampante. Mitrailleuses, roquettes, tronçonneuse, sabre, lance-flammes, tout avait été accommodés pour la dévastation. Il faut avouer que les humains ne manquent pas d’idées lorsqu’il s’agit de mettre au point des bidules servant à saccager des trucs.

Nous pouvons espérer qu’une fois le carnage terminé (s’il termine…) les humains restants demeureront solidaires pour fonder une nouvelle vie… mais il est fort envisageable qu’ils se mettront sur la gueule entre eux… c’est humain après tout.

Non ?



Tu t'souviens des quelques crayonnés qu'j't'avais mis ? Ben voilà c'que ça a donné au final.
Sur le coup j'en étais content, mais maintenant je le trouve juste "bien". Sans plus.

'ferais mieux la prochaine fois. :)

( et non, les robots ne sortent pas de Warhammer... Je reconnais qu'ils ressemblent aux Seigneurs Fantômes des Eldars, mais c'était pas voulu. La prochain fois j'ferais des gros tanks, pis merde. )

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire